Le Maître bonsaï d’Antoine Buéno
Présentation de l’éditeur : La légende de la fin des temps raconte qu’après la mort de Sakurako le monde n’était plus que désolation. Pourtant, sur la terre désertée, s’éleva bientôt un arbre à l’endroit même où la jeune fille s’était éteinte, frappée par le sabre de son père. À la fin du monde, ne subsista plus qu’un cerisier blanc, gardé par un serpent.
Empreint de mystère et d’étrangeté, ce roman à la lisière du conte initiatique nous ouvre à la magie des bonsaïs pour révéler un secret : celui de notre part d’ombre.
Leçons de môvaise éducation d’Antoine Buéno
4ème de couverture : Si tu rigoles pas trop dans la vie, ça va pas te plaire. Et, surtout, si t’aimes bien les petits nenfants, casse-toi ! Mais si t’es un peu une ordure, que tu kiffes bien South Park (ou Desproges, si t’es une personne âgée), t’achètes ce livre tout de suite ! Sinon tu le regretteras toute ta vie et tu seras très malheureux(se) ! C’est quoi ce livre ? Bah, des leçons de mauvaise éducation, pour que tu apprennes aux petits nenfants de 8 à 13 ans à réaliser leur potentiel de crapulerie naturel : désobéir, mentir, taper, espionner, voler, fuguer, picoler, baiser, tuer… Vivre quoi !
Le Triptyque de l’asphyxie d’Antoine Buéno
Présentation de l’éditeur
Un taré réunit, au fond d’une cave, un public de femmes pour leur délivrer un message messianique à l’occasion d’un one-man-show très spécial…Une jeune chercheuse veut prouver dans sa thèse que la BD des Schtroumpfs présente une société totalitaire achevée empreinte de stalinisme et de nazisme… Une émission providentielle permet aux candidats au suicide de venir s’exécuter devant des millions de téléspectateurs… Et le triptyque de l’asphyxie est constitué. Une asphyxie résultant de notre incapacité à regarder la mort en face. Une asphyxie qui nous conduit inéluctablement à l’avènement d’une nouvelle utopie. Puisque nous voici voués à l’immortalité, ne sommes-nous pas déjà des petits hommes bleus ?
Le Soupir de l’immortel d’Antoine Buéno – Version Courte
Initialement publié sur Onirik.net le 9 juillet 2012.
Quatrième de couverture : L’an 570 après Ford. Le monde est enfin durable et uniformisé. Plus de crise environnementale, plus de guerre, plus de misère. La planète est devenue un Éden ultralibéral, une jungle luxuriante d’humains bigenrés.
Le Soupir de l’immortel d’Antoine Buéno – Version Longue
Le Soupir de l’immortel ayant provoqué beaucoup trop d’étincelles dans ma petite tête, j’ai dû me résoudre à produire non pas un, mais deux textes. Un « court » avis mieux structuré, plus impersonnel et qui rentre moins dans les détails. Et le texte ci-dessous, beaucoup plus long avec plein de « je », que j’avais besoin d’écrire pour soulager un peu ma pression intracrânienne. Avis aux amateurs qui n’auront pas peur de se gâcher le plaisir de découvrir le contenu du livre par eux-mêmes.
Note : il y a des liens sur les étoiles qui renvoient à des notes de « bas de page ». Une flèche permet de remonter ensuite au bon endroit.
Edit du 22/07 : j’ai dû revoir quelques phrases pour dissimuler des maladresses flagrantes.
Empreinte émotionnelle d’un livre
Il s’est produit un phénomène étrange pendant la lecture du chapitre 6 du Soupir de l’Immortel d’Antoine Buéno. Pour résumer de manière simple, un couple se lance dans une visite immersive d’un lieu assez particulier et magique où ils finissent par perdre pieds, entraînant le lecteur avec eux dans une transposition troublante de leur état
Avis : Le petit livre bleu – Analyse critique et politique de la société des Schtroumpfs d’Antoine Buéno
Nous sommes sans doute nombreux à n’avoir gardé qu’une vague trace en mémoire de notre première rencontre avec les Schtroumpfs. En ce qui me concerne, elle date de l’école primaire, seule époque où j’ai vraiment consommé beaucoup de bandes dessinées franco-belges. Depuis, je n’ai pas recroisé un seul petit homme bleu. Soit plus de 20 ans. Un ouvrage tel que ce Petit livre bleu nécessite forcément beaucoup d’exemples pour appuyer le propos et aurait rapidement pu devenir nébuleux. Antoine Buéno arrive au contraire à faire remonter à la surface des souvenirs très lointains et à ne jamais perdre le lecteur à chaque évocation d’un passage bien précis des aventures schtroumpfesques. Sa démonstration n’en devient alors que plus limpide au fil des pages.
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