Station Eleven d’Emily St. John Mandel
Présentation de l’éditeur : Un soir d’hiver à l’Elgin Theatre de Toronto, le célèbre acteur Arthur Leander s’écroule sur scène, en pleine représentation du Roi Lear. Plus rien ne sera jamais comme avant. Dans un monde où la civilisation s’est effondrée, une troupe itinérante d’acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l’espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven. Ceux qui ont connu l’ancien monde l’évoquent avec nostalgie, alors que la nouvelle génération peine à se le représenter. De l’humanité ne subsistent plus que l’art et le souvenir. Peut-être l’essentiel.
Astra – Lost in Space de Kenta Shinohara
Présentation de l’éditeur : En 2063, Kanata, Aries ainsi que sept autres de leurs camarades débarquent sur une planète inconnue dans le cadre d’une mission spatiale de leur cursus scolaire. Mais ils ont à peine le temps de commencer à explorer ce nouvel univers qu’ils se voient projetés à des années-lumière de leur point de départ par une étrange sphère d’énergie ! Comment survivre perdus au beau milieu de l’espace ? Quelle est donc cette étrange sphère qui continue de les poursuivre ? Autant de réponses à découvrir dans ce récit de survie haletant sur fond de science-fiction et de mystères !
Animal Crossing Wild World/New Horizons : coïncidence du jour
Il semble y avoir des immuables dans ce jeu, mais le plus curieux, c’est que la machine à coudre Singer était en vente chez moi dans les deux jeux hier. What are the odds?
Laissez-moi sortir d’ici !
En cette période de confinement, nous allons sans doute tous avoir besoin de nous évader à un moment, de sortir de la pièce… tout du moins virtuellement. Je vous propose donc une très courte sélection de jeux Point and Click auxquels j’ai joué récemment. N’hésitez pas à m’en suggérer d’autres si vous en avez de bons sous le coude, de préférence gratuits 😉
Le Mur invisible de Marlen Haushofer
Présentation de l’éditeur : Une catastrophe sans doute planétaire mais dont l’origine chimique ou nucléaire restera indéfinie va bouleverser l’existence d’une femme ordinaire. Elle se retrouve soudain séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit.
Dickinson
Rien dans les trois premières minutes ne laisse deviner au téléspectateur qui n’aurait pas vu la bande-annonce qu’il va regarder autre chose qu’une série très sérieuse sur la vie d’Emily Dickinson. Après une rapide présentation très factuelle de la vie de la poétesse, la caméra se pose sur le visage de la jeune femme dans
Le Goût du baiser de Camille Emmanuelle
Quatrième de couverture : Cette année de première s’annonce particulière pour Aurore : à la suite d’un accident de vélo, elle vient de perdre le goût et l’odorat. Au lycée, elle fait tout pour cacher ce handicap, invisible aux yeux des autres. Mais en réalité, ce trouble s’avère plus envahissant que prévu, surtout quand Antoine, un garçon sur lequel elle fantasme depuis des mois, semble enfin s’intéresser à elle. Privée de deux sens sur cinq, Aurore a soudain le sentiment que son propre corps lui est étranger. Comment poursuivre une vie sexuelle à peine amorcée quand on ne sent rien, pas même sa propre odeur ? Une histoire d’amitié, de plaisir, de désir, de colère transformée en force et de réappropriation du corps. Celle d’une jeune femme portée par une joie de vivre farouche et communicative.
Le Perce-neige de Rensuke Oshikiri
Présentation de l’éditeur : Le lecteur suit le quotidien difficile de Haruka Nozaki, une adolescente qui emménage avec sa famille dans une ville rurale suite au travail de son père. Elle intègre ainsi l’école de la petite ville et doit faire face aux harcèlements de ses camarades de classe particulièrement sadiques. Ne voulant pas inquiéter sa sœur et le reste de sa famille, Haruka décide de les ignorer jusqu’à la remise des diplômes. Mais tout bascule quand ses parents meurent dans un incendie provoqué par ses bourreaux, alors que sa sœur survit avec de graves brûlures. Haruka décide alors de se venger…
Avis : Nicky Larson et le parfum de Cupidon
Avis initialement publié sur CinémAsie avec la note coup de cœur de 4/5
Potache et ultra-régressif
Souvenez-vous du tollé provoqué par l’annonce du film en 2017. Souvenez-vous des crises d’apoplexie lors de la mise en ligne de la bande-annonce en 2018. Des Français osent toucher à City Hunter alors que toute une génération est encore plus ou moins traumatisée par le doublage très approximatif mais néanmoins culte de la série télévisée. Plus jamais ça ! Brûlons-les !
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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