Génération Otaku : Les enfants de la postmodernité de Hiroki Azuma
Quatrième de couverture : Best-seller au Japon, cet essai a le grand mérite de penser – et non de juger – le phénomène Otaku. Les Otakus, ce sont ces jeunes fans de manga, de jeux vidéos ou de dessins animés, ne vivant qu’entre eux et que pour ces produits culturels dont ils ne cessent de créer et de consommer des dérivés: figurines, fanzines, romans tirés d’un dessin animé, dessins animés tirés d’une figurine, etc. Le phénomène, en perpétuelle croissance depuis les années 1980, représente aujourd’hui un marché colossal, et s’étend à l’étranger via le succès mondial du manga. Pourtant, ces adolescents en rupture ont toujours été considérés comme des autistes et personne, jusqu’à Hiroki Azuma, n’avait osé étudier sérieusement leurs œuvres phares et leurs façons de les consommer. Son ouvrage révèle la troublante adéquation entre culture Otaku et postmodernité.
Un Bonheur insoutenable d’Ira Levin
Quatrième de couverture : Dans le futur, les nations ont aboli les guerres et la misère. Mais à quel prix ? Gouvernés par un ordinateur géant, les hommes sont – à l’aide d’un traitement hormonal mensuel adéquat – uniformisés, privés de toute pensée originale. Dans un univers où il n’existe que quatre prénoms différents pour chaque sexe, le jeune Li RM35M4419 va hériter de son grand-père d’un étrange cadeau : un surnom, Copeau. Ce sera le début pour lui d’une odyssée qui va l’amener d’abord à s’accepter en tant qu’individu, puis à la révolte. Il n’est heureusement pas seul, d’autres ont décidé de se rebeller.
Globalia de Jean-Christophe Rufin
Quatrième de couverture : La démocratie dans Globalia est universelle et parfaite, tous les citoyens ont droit au « minimum prospérité » à vie, la liberté d’expression est totale, et la température idéale. Les Globaliens jouissent d’un éternel présent et d’une jeunesse éternelle. Évitez cependant d’en sortir car les non-zones pullulent de terroristes et de mafieux. Évitez aussi d’être, comme Baïkal, atteint d’une funeste « pathologie de la liberté », vous deviendriez vite l’ennemi public numéro un pour servir les objectifs d’une oligarchie vieillissante dont l’une des devises est : « Un bon ennemi est la clef d’une société équilibrée. » Un grand roman d’aventures et d’amour où Rufin, tout en s’interrogeant sur le sens d’une démocratie poussée aux limites de ses dangers et de la mondialisation, évoque la rencontre entre les civilisations et les malentendus, les espoirs et les violences qui en découlent.
Faber, le destructeur de Tristan Garcia
Quatrième de couverture : Dans une petite ville imaginaire de province, Faber, intelligence tourmentée par le refus de toute limite, ange déchu, incarne de façon troublante les rêves perdus d’une génération qui a eu vingt ans dans les années 2000, tentée en temps de crise par le démon de la radicalité.
Quel écrivain suis-je ?
Je ne vais pas nier aimer le calme de ma maison à la campagne. Pour ce qui est d’écrire une histoire pleine d’amour… on verra dans une autre vie. Pour la tuberculose aussi d’ailleurs. Et pour faire le test, c’est par ici.
Derniers films vus 93
Resident Evil: Retribution (2012) : Plus qu’un. Plus qu’un. Arrivée là, c’est tout ce que je peux me répéter en boucle pour me motiver à continuer. Oui, les films sont devenus tellement mauvais que c’est du masochisme pur et simple. Même les scénaristes (enfin si leur existence est un jour prouvée) sont pressés d’en finir
Les Monades urbaines de Robert Silverberg
Quatrième de couverture : En cette année 2381, la Terre ne compte pas moins de soixante-dix milliards d’êtres humains. Leur devise : croissez et multipliez. Dans la plus totale liberté sexuelle. La plus grande confiance aussi, puisque ces hommes et ces femmes connaissent la paix, la sécurité. Le bonheur en un mot. L’utopie est devenue réalité.
La Servante écarlate de Margaret Atwood
Quatrième de couverture : La servante écarlate, c’est Defred, une entreprise de salubrité publique à elle seule. En ces temps de dénatalité galopante, elle doit mettre au service de la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, son attribut le plus précieux : sa matrice.
Rapprochements et autres pigeons
Dans la série : « j’aurais voulu le faire exprès… ». J’ai donc lu presque coup sur coup Harmony de Project Itoh et La Servante écarlate de Margaret Atwood. De la SF dans les deux cas, mais des univers assez différents. Il y a quelques points de recoupement entre les deux, notamment un questionnement sur l’individualité, mais
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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