Aucun souvenir assez solide d’Alain Damasio
Présentation de l’éditeur
Une cité de phares noyée par des marées d’asphalte où la lumière est un langage. Une ville saturée de capteurs qui dématérialise les enfants qui la traversent. Un monde où la totalité du lexique a été privatisée. Un amant qui marche sur sa mémoire comme dans une rue… En dix nouvelles ciselées dans une langue poétique et neuve, Alain Damasio donne corps à cet enjeu crucial : libérer la vie partout là où on la délave, la technicise ou l’emprisonne. Redonner aux trajectoires humaines le sens de l’écart et du lien. Face aux hydres gestionnaires qui lyophilisent nos cœurs, l’imaginaire de Damasio subvertit, perfore les normes et laisse à désirer. C’est un appel d’air précieux dans un présent suturé qui sature.
La Vénus à la fourrure de Leopold von Sacher-Masoch
Quatrième de couverture
Il vénérait une Vénus de jardin, sage idole de pierre : Wanda von Dunajew va lui donner le goût des femmes de chair.
De la déesse de l’amour, Wanda possède la rousse splendeur, le caractère, la frivolité. Mais Séverin, gentilhomme des Carpates, a d’autres rêves encore. Plus que son amant, il désire être son esclave. Humiliation, violence, tortures de la jalousie : extase… D’un trait de plume sur un contrat, tous les abaissements lui sont promis. Jusqu’au tout dernier…
Ce chef-d’oeuvre de Sacher-Masoch – dont le nom a donné naissance au terme « masochisme » – a inspiré le dernier grand film de Roman Polanski, La Vénus à la fourrure.
En moins bien d’Arnaud Le Guilcher
Quatrième de couverture
Il n’aurait jamais pensé que son voyage de noces pouvait être pire…
« Cet auteur déjanté foisonne d’expressions très imagées au service d’une écriture vive. »
Sébastien Chabal
« On tourne les pages avec la simple envie de ricaner et de jubiler, de suivre ce loser splendide. »
Frédéric Beigbeder
Nââânde !? Les tribulations d’une Japonaise à Paris d’Eriko Nakamura
Quatrième de couverture
Nââândé ! ? *
*Ohlala, mais que se passe t-il ! ?
Eriko Nakamura vit à Paris depuis dix ans, mais chaque jour ou presque, au restaurant, dans le métro, chez le médecin, lors d’un réveillon, d’un mariage, à l’hôtel, chez le boucher, en boîte de nuit ou dans un dîner en ville, elle pousse le même cri : Nââândé!?
Je pense donc je jouis – Philosophie du cul de Sylvain Bosselet
Présentation de l’éditeur : Dans leur recherche de la vérité et du bonheur, les philosophes classiques ont passé sous silence l’une des facettes les plus importantes de notre vie : la sexualité.
L’auteur répare cette erreur en interrogeant ce champ de connaissances et de pratiques : Qu’est-ce qu’un « bon » coït ? Qu’est-ce qu’un « beau » cul ? Qu’est-ce qu’un acte sexuel « légal » ? Qu’est-ce qui est universellement « vrai » en sexualité ? Qui est « pervers » ? Le cul représente-t-il un plaisir momentané ou pourrait-il incarner un fondement du bonheur ?
Sur des exemples concrets, Sylvain Bosselet déconstruit les a priori qui entravent notre liberté et nuisent au bonheur sexuel. Il recherche des jalons pour une philosophie du cul.
Êtes-vous un lecteur éclectique ?
Juste pour le fun, ce mème est proposé par PKJ. (et je sais déjà que la réponse est oui) 30 nouvelles questions qui détermineront si vous êtes ou non un lecteur éclectique ! Attention, pour ce test, chaque réponse doit être différente ! Le même livre ne peut pas correspondre à deux questions. Possédez-vous dans
Guide des métiers pour les petites filles qui ne veulent pas finir princesses de Catherine Dufour
Quatrième de couverture : À Noël dernier, j’ai feuilleté le catalogue Jouets d’un grand magasin. Sur fond bleu : des autos, des motos et des bateaux. Sur fond rose : des poupées qui marchent et parlent, dix Barbie princesse et une Barbie fait le ménage. Materner c’est très bien, faire le ménage c’est nécessaire, et s’habiller comme une princesse peut être agréable, mais ce ne sont pas les seules façons, pour une fille, de gagner sa vie. Il y a beaucoup d’autres métiers, bien mieux payés.
Le Maître bonsaï d’Antoine Buéno
Présentation de l’éditeur : La légende de la fin des temps raconte qu’après la mort de Sakurako le monde n’était plus que désolation. Pourtant, sur la terre désertée, s’éleva bientôt un arbre à l’endroit même où la jeune fille s’était éteinte, frappée par le sabre de son père. À la fin du monde, ne subsista plus qu’un cerisier blanc, gardé par un serpent.
Empreint de mystère et d’étrangeté, ce roman à la lisière du conte initiatique nous ouvre à la magie des bonsaïs pour révéler un secret : celui de notre part d’ombre.
Un mème Facebook exporté
C’est une Cécile qui m’a taguée sur Facebook, mais c’était pendant les fêtes de fin d’année, je n’étais pas forcément connectée et après j’ai oublié. Puis la mode est revenue, et j’ai été retaguée. Du coup je me rattrape enfin ici, parce que j’aime bien faire des trucs hors Facebook aussi et surtout ne pas
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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