Le Mur invisible de Marlen Haushofer
Présentation de l’éditeur : Une catastrophe sans doute planétaire mais dont l’origine chimique ou nucléaire restera indéfinie va bouleverser l’existence d’une femme ordinaire. Elle se retrouve soudain séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit.
Le Goût du baiser de Camille Emmanuelle
Quatrième de couverture : Cette année de première s’annonce particulière pour Aurore : à la suite d’un accident de vélo, elle vient de perdre le goût et l’odorat. Au lycée, elle fait tout pour cacher ce handicap, invisible aux yeux des autres. Mais en réalité, ce trouble s’avère plus envahissant que prévu, surtout quand Antoine, un garçon sur lequel elle fantasme depuis des mois, semble enfin s’intéresser à elle. Privée de deux sens sur cinq, Aurore a soudain le sentiment que son propre corps lui est étranger. Comment poursuivre une vie sexuelle à peine amorcée quand on ne sent rien, pas même sa propre odeur ? Une histoire d’amitié, de plaisir, de désir, de colère transformée en force et de réappropriation du corps. Celle d’une jeune femme portée par une joie de vivre farouche et communicative.
The Phantom Tollbooth de Norton Juster
Quatrième de couverture : La vie de Milo est bouleversée lorsqu’il trouve un beau jour un mystérieux paquet contenant… un poste de péage en kit et la carte d’un pays inconnu. C’est le début d’un voyage merveilleux dans les cités fantasques de Dictionopolis et Digitopolis ; la première prônant la suprématie des mots, l’autre celle des chiffres…
Les Portes du néant de Samar Yazbek
Quatrième de couverture : Figure de l’opposition au régime de Bachar al-Assad, Samar Yazbek est contrainte de quitter son pays tant aimé en juin 2011. Depuis son exil, elle ressent l’urgence de témoigner. Au mépris du danger, elle retourne clandestinement dans son pays, en s’infiltrant par une brèche dans la frontière turque. Trois voyages en enfer dans la région d’Idlib où elle vit de l’intérieur l’horreur de la guerre civile, aux côtés des activistes. Des premières manifestations pacifiques pour la démocratie, à la formation de l’Armée Syrienne Libre, jusqu’à l’émergence de l’État islamique, Samar Yazbek livre un témoignage courageux sur le quotidien des combattants, des enfants, des hommes et des femmes ordinaires qui luttent pour survivre. Elle dit l’odeur de la terre après l’explosion d’une bombe, l’effroi dans le regard des mères, les corps mutilés ; elle dit l’une des plus grandes tragédies du XXIe siècle.
Je vous écris de Téhéran de Delphine Minoui
Quatrième de couverture : Sous la forme d’une lettre posthume à son grand-père, Delphine Minoui, journaliste franco-iranienne, raconte ses années passées à Téhéran, de 1997 à 2009. Elle porte un regard neuf sur son pays d’origine, tiraillé entre ouverture et repli. À ses côtés, on s’infiltre dans les soirées interdites, on pénètre dans l’intimité des mollahs et des miliciens bassidjis, on suit les espoirs et les déceptions du peuple…
Putain de Nelly Arcan
Quatrième de couverture : Cachée derrière les rideaux de sa chambre, une prostituée patiente entre deux clients. L’attente se nourrit du souvenir : une famille dévote, une mère absente et un père distrait. Et parfois la jouissance éprouvée avec ces hommes auxquels elle fait l’amour, ces hommes qu’elle déteste peut-être autant qu’elle-même.
Avis : Il serait tentant, dès les premières lignes, et sous prétexte que le livre est une autofiction, d’assimiler totalement l’auteur et son personnage. Surtout quand le suicide de l’auteur en 2009 peut être interprété comme une validation. Ce mal-être du personnage, son penchant suicidaire, c’était forcément celui de l’auteur puisqu’elle a fini par se pendre.
Le Sel de la vie de Françoise Héritier
Quatrième de couverture : « Il y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d’exister, au-delà des occupations, au-delà des sentiments forts, au-delà des engagements, et c’est de cela que j’ai voulu rendre compte. De ce petit plus qui nous est donné à tous : le sel de la vie.
30 ans (10 ans de thérapie) de Nora Hamzawi
Quatrième de couverture : Obsessionnelle, parano et hypocondriaque, Nora Hamzawi partage ses petites angoisses ordinaires avec humour et autodérision. A mi-chemin entre séances chez le psy et journal intime, elle décortique des scènes de nos vies pour mieux y trouver sa place. Comment fait-on pour avoir l’air à l’aise en soirée ? Qui sont ces gens qui fréquentent les stations de skis ? Y a-t-il un âge pour arrêter de regarder La Boum ? Pourquoi est-ce qu’on est obligé de se tutoyer dans les magasins bios ? Son regard sur le monde, sa perception des situations et son désarroi, amusé et sensible, révèlent l’absurdité et la folie du quotidien. En bref, si vous vous demandez régulièrement si vous êtes normal ou à côté de la plaque, cette introspection sans filtre devrait vous aider à relativiser !
Les Passeurs de livres de Daraya de Delphine Minoui
Présentation de l’éditeur : De 2012 à 2016, la banlieue rebelle de Daraya a subi un siège implacable imposé par Damas. Quatre années de descente aux enfers, rythmées par les bombardements au baril d’explosifs, les attaques au gaz chimique, la soumission par la faim. Face à la violence du régime de Bachar al-Assad, une quarantaine de jeunes révolutionnaires syriens a fait le pari insolite d’exhumer des milliers d’ouvrages ensevelis sous les ruines pour les rassembler dans une bibliothèque clandestine, calfeutrée dans un sous-sol de la ville.
Leur résistance par les livres est une allégorie : celle du refus absolu de toute forme de domination politique ou religieuse. Elle incarne cette troisième voix, entre Damas et Daech, née des manifestations pacifiques du début du soulèvement anti-Assad de 2011, que la guerre menace aujourd’hui d’étouffer. Ce récit, fruit d’une correspondance menée par Skype entre une journaliste française et ces activistes insoumis, est un hymne à la liberté individuelle, à la tolérance et au pouvoir de la littérature.
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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