Outrage et rébellion de Catherine Dufour
4ème de couverture : 2320, ouest de la Chine. Les élèves d’une pension de luxe s’ennuient dans leur prison dorée. Marquis, le plus enragé d’entre eux, se révolte brusquement : il invente, ou plutôt réinvente, une musique pleine de colère qui va fédérer les élèves contre les surveillants. Fuyant la répression qui s’abat sur la pension, Marquis se réfugie dans les sous-sols de Shanghai où il va donner aux damnés de la terre les mots et le tempo d’une révolution.
Génération Otaku : Les enfants de la postmodernité de Hiroki Azuma
Quatrième de couverture : Best-seller au Japon, cet essai a le grand mérite de penser – et non de juger – le phénomène Otaku. Les Otakus, ce sont ces jeunes fans de manga, de jeux vidéos ou de dessins animés, ne vivant qu’entre eux et que pour ces produits culturels dont ils ne cessent de créer et de consommer des dérivés: figurines, fanzines, romans tirés d’un dessin animé, dessins animés tirés d’une figurine, etc. Le phénomène, en perpétuelle croissance depuis les années 1980, représente aujourd’hui un marché colossal, et s’étend à l’étranger via le succès mondial du manga. Pourtant, ces adolescents en rupture ont toujours été considérés comme des autistes et personne, jusqu’à Hiroki Azuma, n’avait osé étudier sérieusement leurs œuvres phares et leurs façons de les consommer. Son ouvrage révèle la troublante adéquation entre culture Otaku et postmodernité.
Un Bonheur insoutenable d’Ira Levin
Quatrième de couverture : Dans le futur, les nations ont aboli les guerres et la misère. Mais à quel prix ? Gouvernés par un ordinateur géant, les hommes sont – à l’aide d’un traitement hormonal mensuel adéquat – uniformisés, privés de toute pensée originale. Dans un univers où il n’existe que quatre prénoms différents pour chaque sexe, le jeune Li RM35M4419 va hériter de son grand-père d’un étrange cadeau : un surnom, Copeau. Ce sera le début pour lui d’une odyssée qui va l’amener d’abord à s’accepter en tant qu’individu, puis à la révolte. Il n’est heureusement pas seul, d’autres ont décidé de se rebeller.
Globalia de Jean-Christophe Rufin
Quatrième de couverture : La démocratie dans Globalia est universelle et parfaite, tous les citoyens ont droit au « minimum prospérité » à vie, la liberté d’expression est totale, et la température idéale. Les Globaliens jouissent d’un éternel présent et d’une jeunesse éternelle. Évitez cependant d’en sortir car les non-zones pullulent de terroristes et de mafieux. Évitez aussi d’être, comme Baïkal, atteint d’une funeste « pathologie de la liberté », vous deviendriez vite l’ennemi public numéro un pour servir les objectifs d’une oligarchie vieillissante dont l’une des devises est : « Un bon ennemi est la clef d’une société équilibrée. » Un grand roman d’aventures et d’amour où Rufin, tout en s’interrogeant sur le sens d’une démocratie poussée aux limites de ses dangers et de la mondialisation, évoque la rencontre entre les civilisations et les malentendus, les espoirs et les violences qui en découlent.
Rapprochements et autres pigeons
Dans la série : « j’aurais voulu le faire exprès… ». J’ai donc lu presque coup sur coup Harmony de Project Itoh et La Servante écarlate de Margaret Atwood. De la SF dans les deux cas, mais des univers assez différents. Il y a quelques points de recoupement entre les deux, notamment un questionnement sur l’individualité, mais
Extraits : Demain les posthumains de Jean-Michel Besnier
Hors contexte, tout ceci va paraître bien obscur. Qu’on ne s’attende donc pas à trouver chez ces utopistes la dénonciation du progrès devenue insistance après Auschwitz et Hiroshima. La critique de la modernité n’entre pas dans leur objectif qui est bien plus exigeant : il s’agit de dépasser la nature humaine, ni plus ni moins.
Le Meilleur des mondes d’Haldous Huxley : extrait
– En somme, dit Mustapha Menier, vous réclamez le droit d’être malheureux. – Eh bien, soit, dit le Sauvage d’un ton de défi, je réclame le droit d’être malheureux. – Sans parler du droit de vieillir, de devenir laid et impotent ; du droit d’avoir la syphilis et le cancer ; du droit d’avoir trop
L’écume des jours de Boris Vian : extrait
A défaut d’écrire un avis, voici un extrait ou plutôt le chapitre XXV dans sa courte intégralité. « Pourquoi sont-ils si méprisants ? demanda Chloé. Ce n’est pas tellement bien de travailler… – On leur a dit que c’était bien, dit Colin. En général, on trouve ça bien. En fait, personne ne le pense. On
Sparkle un jour, sparkle toujours
Juste pour le plaisir 😀 Vampire Diaries Saison 1 épisode 4.
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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