Je vous écris de Téhéran de Delphine Minoui
Quatrième de couverture : Sous la forme d’une lettre posthume à son grand-père, Delphine Minoui, journaliste franco-iranienne, raconte ses années passées à Téhéran, de 1997 à 2009. Elle porte un regard neuf sur son pays d’origine, tiraillé entre ouverture et repli. À ses côtés, on s’infiltre dans les soirées interdites, on pénètre dans l’intimité des mollahs et des miliciens bassidjis, on suit les espoirs et les déceptions du peuple…
Putain de Nelly Arcan
Quatrième de couverture : Cachée derrière les rideaux de sa chambre, une prostituée patiente entre deux clients. L’attente se nourrit du souvenir : une famille dévote, une mère absente et un père distrait. Et parfois la jouissance éprouvée avec ces hommes auxquels elle fait l’amour, ces hommes qu’elle déteste peut-être autant qu’elle-même.
Avis : Il serait tentant, dès les premières lignes, et sous prétexte que le livre est une autofiction, d’assimiler totalement l’auteur et son personnage. Surtout quand le suicide de l’auteur en 2009 peut être interprété comme une validation. Ce mal-être du personnage, son penchant suicidaire, c’était forcément celui de l’auteur puisqu’elle a fini par se pendre.
13 Reasons de Cauet
Heureusement que la fin de la saison 2 est proche, je n’en peux plus de penser à Cauet épisode après épisode.
Le Sel de la vie de Françoise Héritier
Quatrième de couverture : « Il y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d’exister, au-delà des occupations, au-delà des sentiments forts, au-delà des engagements, et c’est de cela que j’ai voulu rendre compte. De ce petit plus qui nous est donné à tous : le sel de la vie.
Un air de ressemblance : Lady Campanula Tottington et Michelle Terry
L’une apparaît notamment dans la saison 2 de Marcella. L’autre est une figurine de Wallace and Gromit: The Curse of the Were-Rabbit. Quand j’ai vu la première, j’ai tout de suite pensé à la seconde. Une histoire de bouche sans doute… C’est encore plus frappant dans la série bien sûr.
30 ans 2 chats de Flora et Minikim
Quatrième de couverture : Luce est une Parisienne tout ce qu’il y a de plus banal. Comme des milliers de femmes de son âge, elle a un petit appart, plein d’amis, un travail dans un bureau, des histoires de coeur. Bref, une fille ordinaire, si elle n’avait pas un grave problème : Luce est une fille à chat ! Elle en a deux, et elle fait tout ce qu’elle peut pour leur rendre la vie la plus plaisante possible. De leur côté, Neko et Yoshi utilisent tout leur savoir-faire félin pour bouleverser l’existence de LEUR humaine.
30 ans (10 ans de thérapie) de Nora Hamzawi
Quatrième de couverture : Obsessionnelle, parano et hypocondriaque, Nora Hamzawi partage ses petites angoisses ordinaires avec humour et autodérision. A mi-chemin entre séances chez le psy et journal intime, elle décortique des scènes de nos vies pour mieux y trouver sa place. Comment fait-on pour avoir l’air à l’aise en soirée ? Qui sont ces gens qui fréquentent les stations de skis ? Y a-t-il un âge pour arrêter de regarder La Boum ? Pourquoi est-ce qu’on est obligé de se tutoyer dans les magasins bios ? Son regard sur le monde, sa perception des situations et son désarroi, amusé et sensible, révèlent l’absurdité et la folie du quotidien. En bref, si vous vous demandez régulièrement si vous êtes normal ou à côté de la plaque, cette introspection sans filtre devrait vous aider à relativiser !
Les Passeurs de livres de Daraya de Delphine Minoui
Présentation de l’éditeur : De 2012 à 2016, la banlieue rebelle de Daraya a subi un siège implacable imposé par Damas. Quatre années de descente aux enfers, rythmées par les bombardements au baril d’explosifs, les attaques au gaz chimique, la soumission par la faim. Face à la violence du régime de Bachar al-Assad, une quarantaine de jeunes révolutionnaires syriens a fait le pari insolite d’exhumer des milliers d’ouvrages ensevelis sous les ruines pour les rassembler dans une bibliothèque clandestine, calfeutrée dans un sous-sol de la ville.
Leur résistance par les livres est une allégorie : celle du refus absolu de toute forme de domination politique ou religieuse. Elle incarne cette troisième voix, entre Damas et Daech, née des manifestations pacifiques du début du soulèvement anti-Assad de 2011, que la guerre menace aujourd’hui d’étouffer. Ce récit, fruit d’une correspondance menée par Skype entre une journaliste française et ces activistes insoumis, est un hymne à la liberté individuelle, à la tolérance et au pouvoir de la littérature.
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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Comment l’amour empoisonne les femmes de Peggy Sastre
Présentation de l’éditeur : Les femmes ont acquis le droit de travailler, de voter, de faire ou non des enfants, de disposer de leur corps et de leurs ressources matérielles. Bref, la libération féminine a eu lieu. Sauf que, dans un monde qui traque les différences sexuelles empêchant les femmes d’atteindre, en proportions équivalentes aux hommes, les positions sociales les plus élevées, il est un élément qu’à peu près personne n’a la présence d’esprit d’interroger. Ce grand absent du débat, c’est le boulet amoureux. Cet essai jette un éclairage drôle et décapant sur la dépendance affective dont souffrent encore trop souvent les femmes. La question n’est pas d’opposer émancipation et amour, mais de comprendre ce que les sciences ont à nous dire sur la toxicité du surinvestissement amoureux.