Le Maître bonsaï d’Antoine Buéno
Présentation de l’éditeur : La légende de la fin des temps raconte qu’après la mort de Sakurako le monde n’était plus que désolation. Pourtant, sur la terre désertée, s’éleva bientôt un arbre à l’endroit même où la jeune fille s’était éteinte, frappée par le sabre de son père. À la fin du monde, ne subsista plus qu’un cerisier blanc, gardé par un serpent.
Empreint de mystère et d’étrangeté, ce roman à la lisière du conte initiatique nous ouvre à la magie des bonsaïs pour révéler un secret : celui de notre part d’ombre.
Derniers films vus 95
Evil Dead (2013) : J’aime beaucoup Jane Levy, ce fut donc en partie un plaisir de la retrouver ailleurs que dans une banlieue chic. Pour le reste, il s’agit d’un film gore avec beaucoup de sang et de douleur, mais sans grandes surprises ; tout juste bon pour parier entre ami(e)s sur qui mourra comment
Un mème Facebook exporté
C’est une Cécile qui m’a taguée sur Facebook, mais c’était pendant les fêtes de fin d’année, je n’étais pas forcément connectée et après j’ai oublié. Puis la mode est revenue, et j’ai été retaguée. Du coup je me rattrape enfin ici, parce que j’aime bien faire des trucs hors Facebook aussi et surtout ne pas
Marathon Kubrick 1/2
Note : ce marathon date de décembre 2012. J’ai, comme souvent, laissé traîner. Allez savoir pourquoi, j’ai eu soudain une furieuse envie de voir ou revoir tout Kubrick. De A à Z mais pas forcément dans l’ordre chronologique ni alphabétique. Pour la petite histoire, le dernier que j’ai vu jusqu’à ce marathon, c’est Eyes Wide
Peut-on rire de tout ? de Philippe Geluck
Présentation de l’éditeur : Peut-on rire… du physique des gens, du malheur des autres, des pauvres, des riches, des vieux, des jeunes, des arabes, des juifs, des politiques, des autres, de soi-même, du Pape, de Dieu… ? A cette question, aussi longue que délicate, Philippe Geluck répond « oui », un grand « oui » qui se décline en nuances, en éclats de rire, en commentaires révoltés ou en exemples personnels. Le créateur du Chat évoque tous ces sujets « tabous », ces sujets qui « ne prêtent pas à rire » avec son ton, son impertinence, son envie toujours plus grande de rire des autres et de lui-même.
Challenge : En 2014, je lis du Théâtre !
Ce challenge est organisé par la carverne d’Ankya, un blog que je « connais » et suis depuis notre participation commune au challenge Lire en VO organisé par Oceanicus in folio en 2010. Comme je diversifie beaucoup mes lectures en ce moment et que je compte bien continuer sur cette voie, j’étais à la recherche d’un challenge
Snuff de Chuck Palahnuik
Quatrième de couverture : Cassie Wright, star du porno sur le retour, achève sa carrière sur un coup d’éclat : baiser devant les caméras avec 600 hommes en une nuit ! Dans les coulisses, les heureux numéros attendent. Parmi eux, 72, jeune puceau, 137 homosexuel refoulé, et 600, hardeur vieillissant. Impatients, ils ne sont pas là que pour le record. Entre pulsions et vengeances, le plus grand gang bang de l’histoire promet d’être… mortel.
Leçons de môvaise éducation d’Antoine Buéno
4ème de couverture : Si tu rigoles pas trop dans la vie, ça va pas te plaire. Et, surtout, si t’aimes bien les petits nenfants, casse-toi ! Mais si t’es un peu une ordure, que tu kiffes bien South Park (ou Desproges, si t’es une personne âgée), t’achètes ce livre tout de suite ! Sinon tu le regretteras toute ta vie et tu seras très malheureux(se) ! C’est quoi ce livre ? Bah, des leçons de mauvaise éducation, pour que tu apprennes aux petits nenfants de 8 à 13 ans à réaliser leur potentiel de crapulerie naturel : désobéir, mentir, taper, espionner, voler, fuguer, picoler, baiser, tuer… Vivre quoi !
Apocalypse manga de Pierre Pigot
4ème de couverture : La bombe d’Hiroshima, premier engin atomique lancé sur une population civile, n’a pas seulement marqué à jamais la psyché japonaise : elle a aussi reconfiguré la flèche du temps pour l’ensemble de notre monde. C’est à l’exploration de cette ombre historique, projetée sur le plus commercial des médiums artistiques, le manga, qu’invite Pierre Pigot : comment des mangakas comme Miyazaki, Matsumoto ou Nakazawa ont forgé une esthétique capable de donner une apparence aux lourds fantômes de l’histoire ; comment, du Voyage de Ryû à L’École emportée, et de Princesse Mononoke à Albator, les mangas et dessins-animés ont exploré ces secrets de l’histoire humaine et ces hantises de la catastrophe, qui peuplent les coulisses de l’art depuis soixante ans ; comment, enfin, un manga aussi populaire aujourd’hui que One Piece dissimule au cœur de ses milliers de pages une idée secrète capable de nous donner les clés pour lutter contre cette prégnance de l’apocalypse. Apocalypse manga ou le manga enfin sauvé de sa singularité orientale, et rendu aux mains de ses lecteurs.
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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