Films vus 66

• Battlestar Galactica: The Plan (2009) (V) : Film assez curieux vu qu’il s’agit principalement d’un remontage de ce qu’on a déjà vu dans la série avec quelques bouts rajoutés pour donner le point de vue des cylons sur l’histoire… des cylons ou plutôt de John Cavil le grand manipulateur puisque l’histoire est surtout axée sur lui. Inutile de tenter l’affaire sans avoir vu au moins les 3 premières saisons. On va dire que ça apporte une forme de conclusion supplémentaire mais pas forcément utile même si l’évolution du personnage de Cavil (et ses copies) est intéressante.
• The Ugly Truth (2009) : Comédie romantique et humour en dessous de la ceinture font parfois bon ménage. La preuve : The Ugly Truth. Il y a vraiment des moments où j’étais morte de rire devant leurs bêtises. Puis ils sont mignons Heigl et Butler. Un film que je reverrai volontiers un jour.
• The Accidental Husband (2008) : Comédie romantique également (c’est la saison) mais complétement ratée. Uma Thurman est une catastrophe dans ce film. Elle joue mal, est moche et tellement pas crédible. Colin Firth qui aurait pu être un bon alibi assure le minimum syndical. Jeffrey Dean Morgan (grand amour de Heigl dans Grey’s tiens) est sans surprise. En plus ça m’a paru très très long et la fin ne fait même pas plaisir.
• Naesarang ssagaji (2004) – 100 Jours avec M. Arrogant : voir ici
• RocknRolla (2008) : Très bon film. Très british. Très bien joué. L’intrigue tient très bien la route. Avec un petit effet Rosebud pour le spectateur. C’est quoi ce tableau ?! Je veux bien une suite « as advertised ».
• Bronson (2008) : Les hasards de la programmation, j’ai retrouvé ici Tom Hardy qui était déjà dans RocknRolla (c’est également le cas pour Matt King). Il ne payait pas de mine le petit Tom et pourtant son interprétation dans le rôle de Charlie Bronson est grandiose et mémorable. Il mérite des prix. Le gars est habité par le rôle, ça fait peur. Et sa voix… quelle voix ! Lui qui était tout mignon et gay dans RocknRolla se met à distribuer les coups de poing à tour de bras. La réalisation est brillante et surréaliste la plupart du temps. Tout ça à grand renfort de grands thèmes de la musique classique. J’aurais bien dit que ce film était une claque mais vue le contexte, c’est plutôt un pain.

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