Sakka c’est beau
Pas encore lu mais je suis sous le charme de la forme. Couverture glacée et souple, feuilletage agréable. Des livres qu’il est agréable de toucher. En plus j’aime beaucoup les images en couv. On est loin des éditions de Blanco et autre Spirit of Wonder des débuts de Casterman dans le monde du manga. Si la réédition de l’Habitant de l’infini est aussi belle que ça, je risque fort d’avoir des remords. Par contre, je ne pense pas acheter tout ce qui sortira sous le label Sakka donc hormis les auteurs que je connais déjà et qui m’intéressent, je vais me fier à mon flaire et à mon feeling pour les dessins. Typiquement Blue ne m’attire pas du tout (extrait sur BDnet). Pourtant on aurait pu croire vu les couvertures très bleues si dessous 🙂
2 comments
Préambule
Bienvenue ici,
un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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Bouilloire's books
À propos de moi
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En manque d'idées pour un cadeau ?
Cette nouvelle collection est vraiment attirante, tant pour la qualité de l' »objet » (effectivement, on est bien loin des premiers mangas Casterman !) que celle des titres édités. J’aime beaucoup ce que fait Tsuruta donc je me régale en lisant ce Forget-Me-Not. Le Satoshi Kon a l’air très bien lui aussi.
En tout cas, une vraie bonne idée que cette collection, qui apporte un peu de fraîcheur dans l’ensemble de ce qui est traduit en France 🙂
Ayé, j’ai lu Forget me not. L’auteur a toujours tendance à me déstabiliser un peu avec la structure de ses histoires. J’ai toujours l’impression d’avoir raté un truc dans un coin. Par contre, j’ai complètement accroché au ton général sans arriver à vraiment le définir. Légèreté, humour, un soupçon de mystère et une Mariel absolument irrésistible.