Articles conseillés de novembre 2019

En coloc, les filles ne font pas (toujours) plus le ménage que les garçons | Slate.fr

Des lobbyistes aux populistes : la fabrique de la "fenêtre d’Overton"

Mentalisme, voyance et charlatans, où est l’arnaque ? | Slate.fr

Amour, gloire et opioïdes – Binge Audio

Podcast en 4 parties pour comprendre la crise des opioïdes aux USA et bientôt dans le reste du monde. Et aussi, pourquoi il y a toujours de l’Oxy dans vos spams. Par contre, si vous n’êtes pas bilingue anglais, passez votre chemin, aucune des nombreuses interventions d’Américain·e·s n’est traduite.

How Much of Apple’s Emily Dickinson TV Show Is Real?

Blame!: Tsutomu Nihei et ses marionnettes martyres

Les femmes, premières victimes de la guerre du fake sur internet | Slate.fr

“Les groupes qui veulent ‘guérir’ les homos sont en train de se développer en France”

Il y a aussi la question du martyre qui est fondamentale. Il ne faut pas donner à ces groupes-là des armes pour se poser en martyrs. C’est une minorité bruyante qui a l’habitude d’être pointée du doigt et qualifiée d’homophobe. Ce sont des gens qui ont l’habitude de se victimiser, donc, de notre côté, on pense que leur dissolution est une mauvaise solution. A la place, il faudrait réussir à travailler sur les victimes, et leur donner la possibilité d’être reconnues comme telles, afin de pouvoir porter plainte mais aussi d’être accueillies par un médecin et un psychologue.

Edogawa Ranpo et le roman policier Japonais / Entretien avec Gérald Peloux – Sédition

Pourquoi Jeffrey Epstein n’est pas une exception – Le Point

Dark on Netflix – Who is who – The Family Tree – Overview of the families

Quelque part, les arbres généalogiques de Dark ne sont pas sans rappeler ceux de L’Heure des sorcières d’Anne Rice. Faut s’accrocher pour suivre et surtout avoir un visuel sous la main.

«Les-z-haricots» : ne faites plus la faute

Parce qu’on m’a posé la question et que je n’avais fichtrement aucune idée de la réponse.

Littérature : s’approprier les classiques, un défi pour les lycéens

La théorie de l’effet, d’une part, suppose que le sens est programmé par le texte : il y a une lecture modèle, idéale, et l’élève doit reconnaître le sens attendu par le professeur. A l’opposé, la théorie de la réception suppose que la lecture est une rencontre entre un livre et un lecteur, elle n’est pas unique, c’est une expérience personnelle.

Ces deux théories illustrent deux conceptions de la lecture : l’une, commune à tous les lecteurs, serait une lecture objective, tandis que l’autre, variable à l’infini, est subjective, propre à chacun.

Que n’ai-je connu la deuxième théorie de mon temps…