Films vus 37

• Asylum : Il parait incroyable qu’une femme puisse avoir aussi peu d’instinct de conservation. Du coup le film est parfaitement bancal.
• The Medallion : Taillé à la hache, le film ne ressemble plus à rien et il faut regarder les bonus pour y comprendre un peu quelque chose à l’histoire.
• The Statement : Pas particulièrement passionnant malgré un bon choix d’acteurs.
• Danny the Dog : Effectivement il est pas mal, ça n’est pas un chef d’oeuvre mais l’histoire est plutôt mieux pensée que d’habitude (même si ça s’étire un peu en longueur au niveau de la 50ème minute). Ça change de voir Jet Li dans un rôle comme celui-là.
• Daylight : Poséidon dans un tunnel. Ça passe le temps.
• Munich : Je vous ai déjà parlé des « Patriotes » de Rochant ? Ben celui-là va très bien avec.
• Spaceballs : Une pléthore de références à Star wars, Star Trek et sans doute encore plein de trucs dans le genre. Pas toujours drôle mais quelques gags sacrement bien ficelés. Puis pas trop long non plus. Ce film nous a fait par ailleurs découvrir le mariage ideal. On veut le même mot pour mot :O)
• Kinsey : : Très très bon film sur un personnage qui m’était parfaitement inconnu et qui méritait bien un film.
• Kingdom of Heaven : j’avais ouï dire les pires choses sur ce film et en fait j’ai bien aimé l’ambiance générale. Le voir si tard n’est pas un mal finalement, ça évite de comparer les scènes de batailles avec celles de LOTR. C’est aussi le premier film où je trouve Orlando beau. Peut-être un peu jeune pour le rôle (cela dit avec un acteur plus vieux, le côté pur du personnage aurait sans doute été gaché) mais beau.

Ce qui suit aurait largement mérité un article à part mais j’ai la flemme et limite pas le temps à J-3.

• The Office UK :
• The Office US :

Dans le désordre. Il y a quelques mois j’avais tenté l’épisode 1 de The Office UK. Plutôt convaincue, on m’avait cependant demandé de me réserver pour la version française vu que les gags s’annonçaient un peu comme étant les mêmes et que Berléand fait parait-il un très bon boulot. J’ai tenu un temps puis j’ai découvert Steve Carell dont je suis devenue rapidement très fan. Du coup, passage obligé par la première saison de The Office US (sans avoir décollé plus sur la saison 1 UK). Premier épisode très semblable à la version d’origine. 6 épisodes ça passe vite. Mais je suis séduite, il faudra voir la suite.
Arrive la semaine de vacances nationales. Il faut liquider les DVD. Retour donc à la première saison (et la deuxième dans la foulée d’ailleurs) de The Office UK, avec Tortue cette fois. Je découvre que finalement la version américaine a su s’écarter (a été obligée de s’écarter même) de la version d’origine. Du coup, ce que je soupçonnais se confirme. On peut regarder « toutes » les versions de The Office sans problème vu qu’il faut forcément que le scénario s’adapte au contexte et que la version française ne pourra être qu’encore différente. Deux mots donc sur la version anglaise : Gras et lourd (à l’image de Ricky Gervais). Mais c’est ce qui fait son charme et qui était absolument intransposable chez les américains. La tête de psychopathe de Gareth est… comment dire… effrayante et je crois que la courte durée de la série aide à donner la palme du patron le plus détestable à David Brent.
Passage à la version US dans la foulée. Re-première saison puis deuxième où les américains pour le coup adoptent à un format plus « américain » avec 22 épisodes. On s’éloigne de plus en plus du modèle d’origine et je deviens complètement accroc. Là d’ailleurs je me retiens. La saison 3 doit attendre le retour en France ! Ce que j’aime dans la version US : les practical jokes de Pam et Jim qui me font mourrrrrir de rire. (oui je sais c’est méchant de se moquer de Dwight comme ça mais c’est irrésistible 😀 ) Puis mon côté fleur bleue est titillé par leur romance qui n’avance pas. Je regrette par contre que Michael Scott soit moins irrécupérable que son homologue anglais.
Une dernière chose. The Office gagne a être vu plusieurs fois même quand on connait les gags à l’avance. Après avoir vu la saison 1 US deux fois, j’en suis convaincue. Et si on me demande une bonne définition pour « jerk » et « douchebag » à l’avenir, je renverrai directement sur the Office :O)

1 comment