RecordS à battre
Si vous n’êtes pas sur FB (wouuh les nuls !!) et qu’en plus vous n’avez pas ajouter l’appli de Flixter, ça risque de vous parler chinois… en résumé je me fais mousser là 🙂 Toujours plus haut, toujours plus fort ! 😛
18 avril 2006 – 28 novembre 2007
Diantre, je n’en reviens tellement pas que j’en fais un post : j’ai tapoté une critique sur CinémAsie ce soir !!! Même que je n’ai rien senti venir, c’est parti comme ça et paf 2500 signes. Plus les 2 dépêches et un post dans le forum. Méfiez-vous, il va neiger :O)
L’appartement : le retour de la vengeance
Et 1 ! Et 2 ! Et 3 (avec un petit montage pour y voir plus clair) : Y en a qui collectionne les 444, moi c’est cet appart 🙂
Films vus 40
El Laberinto del fauno : Film dur, éprouvant et marquant. Quel gros coup de cafard après coup ! C’est à mille lieux de ce à quoi je m’attendais mais c’est un film tellement « rare » qu’il faut le voir ne serait-ce que pour regarder un petit bout d’Histoire froide et cruelle dans les yeux. The Bourne
Fin de saisons 2007 – 2ème partie
Nanan je suis pas à la bourre du tout !!! Lost (323 – ABC – 9.2 – L’ile) Résumé : Après les survivants et la station, voici les Autres…brrrrr Avis : Elle est très loin d’être déserte cette île mine de rien et ça permet de découvrir de nouvelles têtes qui pimentent bien le scénario.
Bleu presque transparent de Ryû Murakami
Je lis des choses qui se lisent vite en ce moment. C’est pour ça que j’ai choisi Bleu presque transparent dans la pile de bouquins (lui et son aura sulfureuse). J’aurais peut-être mieux fait de me casser une patte ce jour-là. Mon dieu ! elle est choquée, elle n’a pas réussi à le finir… non,
Ni d’Eve Ni d’Adam D’Amélie Nothomb
Vous avez aimé La métaphysique des tubes et Stupeur et tremblement, jetez-vous sur Ni d’Eve ni d’Adam car ça se confirme : les meilleurs Nothomb se passent au Japon. Et forcément l’experience est encore plus forte quand on y a mis les pieds en vrai et que, comme Amélie, on a le Mont Fuji dans les tripes et dans la tête. Sa relation fusionnelle avec la grosse montagne décrite avec ses mots c’est à peu de chose près ce que j’ai ressenti depuis le lac Kawaguchi (l’ascension s’avérant a priori difficilement faisable pour moi maintenant). Et le coup de la montagne fumante en moins (ceux qui ont lu comprendront). Du haut de ce chapeau blanc, plusieurs milliers d’années nous contemple.
Le magasin des suicides de Jean Teulé
L’extrait plus bas est finalement une bonne mise en bouche. Un bébé qui sourit dans un magasin où l’on vend la mort à la demande, c’est assez cocasse. Et ce n’est que le début du malheur…
C’est le premier livre de Jean Teulé que je lis. Je savais qu’il écrivait, je connaissais surtout le chroniqueur télé. Son auto-promotion entendue quelque part à la radio avait fortement attirée mon attention.
Le magasin des suicides de Jean Teulé
C’est un petit magasin où n’entre jamais un rayon rose et gai. Son unique fenêtre, à gauche de la porte d’entrée, est masquée par des cônes en papier, des boîtes en carton empilées. Une ardoise pend à la crémone. Accrochés au plafond, des tubes au néon éclairent une dame âgée qui s’approche d’un bébé dans