La Mémoire Volée de Martin Duffy
Euh… comment dire, il n’y aurait pas eu Elijah Wood dont je vénère les yeux bleus de martiens et un DVD prix rikiki (5€90), je n’aurais sans doute jamais vu ce film. Résumé; : Barney Snow (Elijah Wood) se réveille un jour dans un hôpital pour enfants en phase terminale. Il n’a plus aucun souvenir du pourquoi il est là, mais son médecin le rassure en lui disant qu’il n’est pas en train de mourir, mais qu’il suit juste un traitement particulier pour recouvrer la mémoire. Sur sa route il va croiser Billy (maladie des reins) et Mazzo (cancer des os) auxquels il va finir par s’attacher malgré les précautions prises par son médecin. Et comme il a du temps à tuer entre deux scéances, Barney enquête sur son passé de son coté; et dragouille gentiment la sœur jumelle de Mazzo.
Mouais… Bon… on va dire que ça se laisse regarder malgré les grands moments où on se dit que ça fait tache cette affaire de traitement scientifiquement inexplicable mais pourtant efficace. Parce qu’un bourdon, ça vole alors que ça ne peut pas en théorie (Titre anglais : The Bumblebee Flies Anyway). Tout comme le dauphin peut sauter hors de l’eau alors qu’en théorie lui non plus il ne peut pas. Comme quoi il faut se méfier des scientifiques parfois. Dans ce film aussi, je ne ferais pas trop confiance aux scientifiques qui guérissent des cancers avec des méthodes pas très orthodoxes et c’est sans doute ce qui décrédibilise le tout. Il fallait choisir sa voie : fantastique ou drame lacrymal. Pas un machin entre les deux où on ne sait plus trop quoi en penser à la fin (surtout avec les histoires de douleurs qui communiquent entre les deux faux-jumeaux, ce phénomène m’a toujours laissée assez sceptique). Heureusement, dans l’ensemble, c’est bien joué même si Wood est un peu limite par moment. Les deux jeunes qui interprètent les amis malades sont très justes tout du long et la brune est mignonne (vue dans Antitrust). Par contre par une larme, même pas un pincement au cœur à la fin. Il devait encore manquer quelque chose pour que la sauce prenne. Pourtant ça ne manque pas de cas désespérés dans cette histoire. Malgré ce qu’en disent les « spectateurs » d’Allociné, je continue à avoir l’impression que ce film s’adresse à un public plus ado même si le sujet peut paraître un peu dur à première vue (et encore ça aurait pu être bien plus larmoyant que ça, j’en suis sûre). Rotons un coup pour le spoiler sur le vrai sujet du film : erfgr yn dhrfgvba rkvfgragvryyr dhv cerbpphcr onearl… rfg vy ienvzrag cerg n fr snver ibyre yn zrzbver vaqrsvavzrag cbhe nvqre yn fpvrapr ? rg gbv fcrpgngrhe dhr srenvf gh n fn cynpr ? Burp alors !
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un certain nombre de posts sont actuellement hors ligne. Ce blog a plus de 20 ans maintenant et, au fil du temps, des liens se sont cassés, des images hébergées ailleurs ont disparu, le grand Internet a bougé, ma vie aussi, et en plus, je suis devenue correctrice entretemps. C'est dire si, aujourd'hui, ce blog a besoin d'un grand nettoyage de printemps.
Même si je ne poste plus autant qu'avant, c'est un lieu précieux pour moi.
En septembre 2024, j'ai refait la déco. Viendra ensuite la mise à jour du contenu. Un travail long et fastidieux puisque j'ai accumulé près de 2800 posts. Je donnerai la priorité aux avis, puis le reste suivra petit à petit.
Bonne visite !
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